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[ International ]

Juan Rodriguez Teruel, Chaire internationale du BRIC

Juan Rodriguez Teruel est l'invité du Cevipol durant ce mois de décembre comme titulaire d'une Chaire internationale du Bureau des relations internationales et de la coopération (BRIC) de l'ULB.

Durant son séjour, il participera aux activités du Cevipol, ainsi qu'à celles liées au projet de recherche Partirep et à un projet de recherche s'intéressant aux carrières politiques des ministres régionaux en Europe.

Détenteur d'un doctorat en sciences politiques et administratives de l'Universitat Autònoma de Barcelona (2006), Juan Rodriguez Teruel est professeur à l'Université de Valence, Secrétaire général de l'association espagnole de science politique, éditeur du blog de science politique "Agenda Pública" et auteur d'une colonne intitulée "State of the Left" pour Policy Network.

Ses recherches se focalisent sur les carrières ministérielles, les élites politiques, les partis politiques et la décentralisation. Son livre "Los ministros de la España democrática" (Ministers in democratic Spain) a été publié par le Centro de Estudios Políticos y Constitucionales (2011). Ses articles sont parus dans de nombreuses revues internationales.

Avant sa visite auprès de Cevipol de l'ULB, Juan Rodriguez Teruel a séjourné à la University of Leiden (2013), the Institute of Governance, University of Edinburgh (2011), the London School of Economics and Political Science (2009-2010) et The Open University (2008-2009).

Afrique du Sud: de nouvelles collaborations en perspective


Fin octobre, les universités francophones de Belgique ont participé à la mission de la princesse Astrid en Afrique du Sud. L'ULB y était représentée par le recteur Didier Viviers, le vice-recteur aux Relations internationales Serge Jaumain, le responsable des relations internationales de la Faculté de Droit Erik Van den Haute et Gaëlle Ducarme du Service des relations internationales.

Cette mission essentiellement exploratoire a permis non seulement de mieux connaître les universités de ce pays et les sources de financement disponibles mais aussi d'identifier une série de pistes de collaborations.

Les universités sud-africaines ont ainsi exprimé le souhait d'augmenter significativement le nombre de leurs doctorants et post-doctorants. Dans cette perspective, le système des cotutelles avec des institutions de la Fédération Wallonie-Bruxelles les intéresse au plus haut point. Un accord devrait être signé entre le FNRS et le NRF afin de financer quelques bourses de doctorat mixte.

Le deuxième grand point d'intérêt concerne l'expérience et le savoir-faire de nos universités en matière de transfert de technologie, d'innovation et d'entrepreneuriat. Ici aussi une série de partenariats pourraient être lancés.

Enfin, d'intéressantes perspectives de synergies sont apparues dans le domaine des collaborations avec l'ensemble du contient africain: les institutions d'Afrique du Sud travaillent en effet principalement avec les institutions de l'Afrique anglophone mais beaucoup moins avec l'Afrique francophone où nous sommes par contre très présents.

Le rapport détaillé de la mission, qui sera présenté au Conseil des relations internationales, est disponible sur demande. Si vous souhaitez avoir plus d'informations sur un de ces points ou mettre en place de nouvelles collaborations avec l'Afrique du Sud, vous pouvez contacter Gaëlle Ducarme au Service des Relations internationales.